Chih-Chien Wang
La pratique de Chih-Chien Wang fait appel à la présentation d’objets trouvés et à l’acte de leur cueillette ou de leur recréation. Ce processus enrichit sa compréhension de l’espace de vie et de la diversité culturelle de la ville. Ces préoccupations font aussi écho à sa compréhension des gens, au lieu où il vit et à ses doutes sur la réalité du moi.
Wang a constamment recours à la photographie, à la vidéo et à l’installation comme outils principaux de sa création. Ils lui ont permis de préserver la fraîcheur des impressions de moments particuliers tout en pouvant recréer à loisir les paysages engendrés par l’accumulation des expériences qu’il vivait. La photographie, la vidéo et l’installation continuent de lui offrir une large palette de façons d’examiner le contenu et constamment mettre à l’épreuve la présentation des concepts.
L'artiste a reçu le généreux soutien du Musée des beaux-arts de Montréal
Biographie
Né à Taiwan, Chih-Chien Wang réside à Montréal depuis 2002 où il a complété une maîtrise en photographie à l'Université Concordia, après des études en cinéma et en théâtre à l'Université chinoise de Taipei, Taiwan. Son travail a récemment fait l’objet d’expositions individuelles, notamment au Centre Expression de St-Hyacinthe, en 2014; au Centre Space à Toronto et au Musée régional de Rimouski, en 2013; au Musée des beaux-arts de Montréal, en 2012; alors que Dazibao lui offrait sa première exposition individuelle en 2005. Il a participé à de nombreuses expositions collectives parmi lesquelles Out of Grace, à la Galerie Leonard et Bina Ellen à Montréal en 2010, initiée par Lynda Gaudreau; Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme, Triennale québécoise au Musée d’art contemporain de Montréal en 2008; et Faking Death: Canadian Art Photography and the Canadian Imagination, à la Galerie Jack Shainman à New York, en 2006. Représenté par la Galerie Pierre-François Ouellette, ses œuvres font partie de collections d’institutions majeures au Canada et à l’étranger.
Expositions récentes
2012 | As far as we were; as close as I can, Contemporary Art Square, Musée des Beaux-art, Montréal Orange, Expression, Saint-Hyacinthe |
2011 | Short Sentences, Pierre-François Ouellette art contemporain, Montréal |
2010 | Watered Plant, February, The New Gallery, Calgary |
2009 | Jelly Project #2, Gallery 44, Toronto |
2008 | Time has hollows, Pierre-François Ouellette art contemporain, Montréal |
Origine
Montreal, Canada